L’utilisation médicale de la méditation remonte à la fin des années 1970 quand un scientifique américain, JON KABAT-ZINN, docteur en biologie moléculaire et professeur à l’université du Massachusetts pense à laïciser la pratique des moines bouddhistes pour n’en garder que l’aspect pratique.
JOHANNES HEINRICH SCHULTZ, lui, était un médecin psychiatre allemand qui travaillait tout d’abord sous hypnose et qui, par la suite, (autour de 1920) a mis au point une technique d’«auto-hypnose» par auto-concentration, le Training Autogène de Schultz.
Les neurosciences ont, depuis, validé les effets positifs de ces techniques de gestion du stress.
Amélioration de la qualité du sommeil
Effets sur la qualité des perceptions.
Augmentation du seuil de la douleur.
Diminutions des tensions musculaires.
Effets positifs sur la respiration, le cœur et les vaisseaux sanguins.
Augmentation de l’immunité.
Ralentissement du vieillissement.
Meilleure gestion des émotions
Car ce sont les émotions qui entraînent des réactions en chaîne dans le corps et qui informent le cerveau du comportement à adopter.
En travaillant sur le bien-être du corps et sur les émotions, nous pouvons influencer ce comportement.
Aucun soignant ne peut plus ignorer que le corps et l’esprit sont intimement liés.
La Relaxation fait partie de notre décret de compétence. A l’heure de l’approche Bio-Psycho-Sociale du patient, recommandée par tous, aucun masseur-kinésithérapeute ne peut faire l’impasse sur cette technique.
24, 25 et 26 mars 2022 à Pontivy
PEC FIFPL
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